CÉLINE et VIRGINIE




Le blog réCits et nouVelles, C et V pour Céline et Virginie, est dédié à deux superbes jeunes femmes que j’ai découvertes un jour à la télévision dans une série populaire, pblv

Pourtant Les récits que vous allez lire ne reprennent aucun des personnages de pblv, à l’exception, naturellement, de Céline et Virginie.

Mais même s’agissant d’elles, je n’ai conservé que leur aspect physique et leur caractère. Mes histoires sont des über, c’est à dire des fanfictions se contentant de reprendre les traits de caractère et le physique des héros principaux.

Pour le reste, tout est différent. Adieu Marseille, le Mistral, Phénicie, Vincent, Roland, Thomas et les autres !

Une dernière précision mais elle est de taille : au début de Dix Jours, le 17 octobre 2008, Céline et Virginie n’ont que 25 ans !


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Deux autres récits sont une suite imaginée de pblv. Ils se déroulent après la rupture et la séparation des deux héroïnes et s'intitulent :


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Tous mes récits suivent un ordre chronologique.

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Il suffit de cliquer sur les noms des récits, publiés en bleu, pour y avoir accès.

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Afin de vous donner envie d’en lire un peu plus, voici  quelques lignes extraites de chaque récit.


(..) Céline était très belle. Blonde, grande, mince avec des formes parfaites. Elle était toujours élégante mais sans ostentation.
Pour ce voyage, elle s’était vêtue d’un chemisier blanc, d’une veste et d’une jupe sous une redingote, le tout en laine marron glacé, chaussée de fins escarpins chocolat à talons plats, ses longs cheveux couleur de miel serrés dans un chignon noué sur la nuque. Ce n’était pas une beauté froide et distante, mais au contraire une jeune femme sensuelle et ardente (..)
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(..) Je suis chez ma mère, couchée dans mon lit, dans la chambre qui fut la mienne pendant tant d’années. Je songe à cette journée.
Mon train vient de quitter la gare de Saint Pancras, où j’ai laissé Gilles, seul sur le quai. Après m’avoir quittée, il a sans doute regagné sa banque au coeur de la City de Londres.
Il était soucieux. On le serait à moins. Il a tellement peur que la tempête boursière, qui se déchaîne dans le monde entier, n’atteigne sa banque, pourtant l’un des plus solides établissements financiers français (..)
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(..) Le jour où commence ce récit, Virginie était dans son atelier et mettait la touche finale à un tableau.
Elle était étonnée. Elle avait l’impression que, depuis qu’elle avait rencontré Céline, ses oeuvres étaient meilleures, son art plus abouti. Céline l’inspirait... dans  tous les domaines.
Elle était là, en train de songer à la façon délicieuse dont Céline avait changé sa vie, quand on sonna à la porte. Elle n’attendait personne. Elle jeta un oeil distrait à sa montre  16 heures - et alla ouvrir (..)
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(..) Les deux jeunes femmes devaient arriver au village de Notre-Dame-en-Auge le 24 en fin de matinée et repartir le 26. Virginie n’avait pas jugé utile de prolonger leur séjour. Céline n’avait pas insisté.
Pour l’occasion, Céline devait utiliser sa voiture : une Audi TT noire, cadeau de Charles et Marie pour son diplôme de troisième cycle en histoire de l’art, obtenu brillamment auprès de l’Ecole du Louvre (..)
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(..) En ce dimanche du mois de janvier, la neige tombait à gros flocons sur Paris. Une neige surprenante, inattendue. Une neige comme il n’en était plus tombée sur la ville depuis des années. Une neige digne des pays scandinaves ou de la Sibérie. Une neige pour les pays de montagnes ou les déserts blancs.
Sur tout et partout, ce n’était que blancheur immaculée (..)


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(..) Elle avait pris son appareil photo et s’était approchée de la haute baie vitrée.
Il était presque 7 heures du matin. Le soleil allait bientôt se lever et apparaître derrière les montagnes.
Elle fit la mise au point. Elle voulait surprendre et capturer ce moment.
Enfin, les rayons du soleil naissant vinrent effleurer les bâtiments de la ville, les touchant les uns après les autres.
La lumière dorée caressa d’abord la pyramide et le Sphinx aux yeux outrageusement maquillés du Louxor. Elle glissa sur les toits rouges et bleus du château d’Excalibur (..)


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(..) Virginie était allée aussi loin qu’elle l’avait pu pour fuir la rancoeur haineuse de Vincent Chaumette et de Charles Frémont.
Après son licenciement injuste qu’elle n’avait pas voulu s’abaisser à contester, les insultes auxquelles elle n’avait pas voulu répliquer, si ce n’est par le silence, elle avait, pendant un mois, cherché du travail partout.
Mais partout à Marseille, elle avait essuyé refus sur refus. Elle avait cherché dans tout le midi, allant de la frontière avec l’Espagne jusqu’aux limites de l’Italie (..)
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(..) La voiture franchit le barrage et, après quelques kilomètres encore, parvint aux portes de la ville où elle dut s’arrêter à un premier feu rouge. Et là, Céline et Virginie eurent le souffle coupé comme on l’a toujours quand on arrive pour la première fois à Dinard.
Au dessus des solides maisons en granit et aux toits d’ardoises de la cité balnéaire, on voyait au loin, de l’autre côté de la baie, la ville de Saint-Malo, tapie autour de son clocher en pointe, et dont la mer venait lécher les remparts (..)
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